NOM
tune2fs - Ajuster les paramètres des systèmes de fichiers
ext2/ext3/ext4.
SYNOPSIS
tune2fs [ -l ] [ -c nombre_max_montages ] [ -e comportement_erreur ] [
-f ] [ -i intervalle_entre_vrifications ] [ -j ] [ -J options_journal
] [ -m pourcentage_blocs_rservs ] [ -o [^]options_montage[,...] ] [
-r nombre_blocs_rservs ] [ -s activer_rduction_superblocs ] [ -u
utilisateur ] [ -g groupe ] [ -C nombre_montages ] [ -E
options_tendues ] [ -L nom_volume ] [ -M dernier_rpertoire_montage ]
[ -O [^]caractristique[,...] ] [ -T date_dernire_vrification ] [ -U
UUID ] périphérique
tune2fs permet à l’administrateur système d’ajuster les paramètres
modifiables des systèmes de fichiers Linux ext2, ext3 ou ext4. Les
valeurs de ces options peuvent être affichées en utilisant l’option -l
du programme tune2fs(8) ou en utilisant le programme dumpe2fs(8).
OPTIONS
-c nombre_max_montages
Ajuster le nombre maximal de montages entre deux vérifications
du système de fichiers par e2fsck(8). Si nombre_max_montages
vaut 0 ou -1, le nombre de fois que le système de fichiers a été
monté sera ignoré par e2fsck(8) et par le noyau.
Faire varier le compteur de montage au bout duquel les systèmes
de fichiers seront obligatoirement vérifiés permet d’éviter que
les systèmes de fichiers ne soient tous vérifiés en même temps
lors de l’utilisation de systèmes de fichiers journalisés.
Vous devez être conscient des conséquences si vous désactivez
entièrement la vérification dépendante du compteur de montage.
Des disques, câbles, mémoires défectueux ou des bogues du noyau
peuvent corrompre un système de fichiers sans que celui-ci ne
soit marqué comme « sale » ou « erroné ». Si vous utilisez la
journalisation sur votre système de fichiers, votre système de
fichiers ne sera jamais marqué comme sale et donc ne sera pas
vérifié normalement. Une erreur de système de fichiers détectée
par le noyau peut encore forcer un fsck lors du prochain
redémarrage, mais il sera peut être déjà trop tard à ce moment
là pour prévenir la perte de données.
Voir aussi l’option -i pour les vérifications fonctions du temps
écoulé.
-C nombre_montages
Définir le nombre de fois que le système de fichiers a été
monté. S’il est configuré à une valeur plus importante que le
paramètre nombre_max_montages définit par l’option -c, e2fsck(8)
vérifiera le système de fichiers lors du prochain redémarrage.
-e comportement_erreur
Changer le comportement du noyau quand des erreurs ont été
détectées. Dans tous les cas, une erreur de système de fichiers
provoquera l’exécution de e2fsck(8) pour vérifier le système de
fichiers lors du prochain redémarrage. Les choix possibles pour
comportement_erreur sont :
continue Continuer l’exécution normale.
remount-ro Remonter le système de fichiers en
lecture-seule.
panic Provoquer une panique du noyau.
-E options_tendues
Définir les options étendues pour le système de fichiers. Les
options étendues sont séparées par des virgules et peuvent
prendre un paramètre en utilisant le signe égal (« = »). Les
options étendues suivantes sont gérées :
stride=taille_bande
Configurer le système de fichiers pour une matrice
RAID avec une taille de bande de stride-size blocs
du système de fichiers. Il s’agit du nombre de blocs
lus ou écrits sur le disque avant de passer au
disque suivant. Ceci affecte principalement le
placement des méta-données comme la carte des blocs
au moment de la création du système de fichier avec
mke2fs pour éviter de les placer toutes sur le même
disque, ce qui peut réduire les performances.Elle
peut aussi être utilisée par l’allocateur de blocs.
stripe_width=largeur_bande
Configurer le système de fichiers pour une matrice
RAID avec une largeur de bande de largeur_bande
blocs du système de fichiers. Il s’agit typiquement
de largeur_bande * N, où N est le nombre de disques
de données sur le RAID (par exemple, RAID 5 N+1,
RAID6 N+2) Ceci permet à l’allocateur de blocs
d’éviter des séquences de lecture / modification /
écriture de la parité dans une bande RAID si c’est
possible quand les données sont écrites.
hash_alg=algo_hachage
Définir l’algorithme de hachage utilisé par défaut
pour les systèmes de fichier avec des répertoires
utilisant des arbres binaires hachés. Les
algorithmes acceptés sont : legacy, half_md4 et tea.
test_fs
Positionner un attribut dans le superbloc du système
de fichier indiquant qu’il ne peut être monté en
utilisant du code expérimental du noyau, comme le
système de fichiers ext4dev.
^test_fs
Effacer l’attribut test_fs, ce qui indique que le
système de fichiers ne doit être monté qu’avec du
code de prise en charge d’un système de fichiers
près pour la production.
-f Forcer l’opération de tune2fs à se terminer jusqu’à la fin même
en cas d’erreur. Cette option est utile lors de la suppression
de la caractéristique has_journal d’un système de fichiers qui a
un journal externe (ou qui a été corrompu de telle manière qu’il
semble en avoir un) mais que le journal n’est pas disponible.
AVERTISSEMENT : supprimer le journal externe d’un système de
fichiers qui n’a pas été démonté proprement sans rejouer au
préalable le journal externe peut amener à des pertes de données
sévères et une corruption du système de fichiers.
-g groupe
Définir le groupe qui peut utiliser les blocs réservés dans le
système de fichiers. Le paramètre groupe peut être soit un nom
de groupe soit un GID (identifiant de groupe) numérique. Si un
nom de groupe est fourni, il est converti en GID numérique puis
enregistré dans le superbloc.
-i intervalle_entre_vrifications[d|m|w]
Ajuster la durée maximale entre deux vérifications du système de
fichiers. Le suffixe indique l’unité (par défaut ce sont des
jours) : d pour les jours (days), m pour les mois (months) et w
pour les semaines (weeks). La valeur zéro désactivera les
vérifications périodiques.
Il est vivement recommandé d’activer soit -c (limite en nombre
de montages) soit -i (limite en temps) pour que e2fsck(8)
vérifie régulièrement et complètement le système de fichiers.
Dans le cas contraire vous risquez d’aboutir à des corruptions
silencieuses du système de fichiers en cas de défauts dans les
disques, câbles, mémoires ou dans la conception du noyau et vous
ne vous en apercevrez que lorsqu’il sera trop tard, après la
perte des données.
-j Ajouter un journal ext3 au système de fichiers. Si l’option -J
n’est pas spécifiée, les paramètres par défaut pour les journaux
seront utilisés pour créer un journal de taille adaptée (en
fonction de la taille du système de fichiers) stocké dans le
système de fichiers. Remarquez que vous devez utiliser un noyau
qui possède le support pour ext3 pour exploiter réellement le
journal.
Si cette option est utilisée pour créer un journal sur un
système de fichiers monté, un fichier immuable, .journal, sera
créé dans le répertoire racine du système de fichiers, étant
donné que c’est l’unique manière de créer l’inode du journal
lorsque le système de fichiers est monté. Lorsque le journal
ext3 est visible et que le système de fichiers est monté, il est
dangereux de le modifier ou de le supprimer ; c’est pour cette
raison que le fichier est marqué comme immuable. Pendant la
vérification de systèmes de fichiers démontés, e2fsck(8)
déplacera automatiquement .journal vers l’inode de journal
réservé, qui est invisible. Pour tous les systèmes de fichiers à
l’exception du système de fichiers racine, cela devrait être
fait automatiquement au prochain redémarrage de la machine.
Étant donné que le système de fichiers racine est monté en
lecture seule, e2fsck(8) devra être exécuté depuis un disque de
réparation pour que la transition soit effectuée.
Sur certaines distributions, telles que Debian, si un ramdisk
initial est utilisé, les scripts initrd convertiront
automatiquement un système de fichiers ext2 racine vers un ext3
si le fichier /etc/fstab spécifie que le système de fichiers
racine comme ext3. Ainsi, cela évite l’utilisation d’un disque
de réparation pour ajouter un journal ext3 au système de
fichiers racine.
-J options_journal
Remplacer les paramètres par défaut pour la création du journal
ext3. Les options du journal sont séparées par des virgules et
peuvent prendre un paramètre en utilisant le symbole égal
(« = »). Les options suivantes sont supportées :
size=taille_journal
Spécifier la taille du fichier journal en
méga-octets. Sa taille doit être comprise entre 1024
blocs, (c’est-à-dire 1Mo si on utilise des blocs de
1k, 4Mo pour des blocs de 4k, etc.) et 102 400
blocs. Il doit y avoir suffisamment d’espace libre
pour stocker un journal de cette taille.
device=journal_externe
Attacher le système de fichiers au journal du
périphérique journal_externe. Le journal externe
doit avoir déjà été créé en utilisant la commande :
mke2fs -O périphérique_journal journal_externe
Remarquez que journal_externe doit avoir été formaté
avec la même taille de blocs que les systèmes de
fichiers qui l’utiliseront. De plus, même s’il est
possible d’attacher plusieurs systèmes de fichiers à
un unique journal, le noyau Linux et e2fsck(8) ne
supportent toujours pas le partage de journal
externe.
Au lieu de spécifier directement un nom de
périphérique, journal_externe peut aussi être
spécifié sous la forme LABEL=nom ou UUID=UUID pour
indiquer le journal externe par le nom de volume ou
par l’UUID stocké dans le superbloc ext2 au début du
journal. Utilisez dumpe2fs(8) pour afficher le nom
de volume et l’UUID du périphérique d’un journal.
Voir aussi l’option -L de tune2fs(8).
Une seule des deux options size ou device peut être utilisée
pour un système de fichiers donné.
-l Lister le contenu du superbloc du système de fichiers, dont les
valeurs actuelles des paramètres qui peuvent être définis par ce
programme.
-L nom_volume
Définir le nom de volume du système de fichiers. Les noms de
volume des systèmes de fichiers ext2 sont limités à 16
caractères ; si nom_volume est plus long que 16 caractères,
tune2fs le tronquera et affichera un avertissement. Le nom de
volume peut être utilisé par mount(8), fsck(8) et /etc/fstab(5)
(et probablement d’autres) en spécifiant LABEL=nom_volume à la
place du nom de périphérique comme /dev/hda5.
-m pourcentage_blocs_rservs
Définir en pourcents la fraction du système de fichiers qui ne
peut être allouée que par des processus privilégiés. La
réservation de blocs du système de fichiers pour une utilisation
par des processus privilégiés permet d’éviter la fragmentation
et permet aux démons lancé par root, comme syslogd(8), de
continuer à fonctionner correctement après que les processus non
privilégiés ne soient plus autorisés à écrire sur le système de
fichiers. La valeur par défaut est de 5 %.
-M dernier_rpertoire_montage
Définir le dernier point de montage du système de fichiers.
-o [^]option_montage[,...]
Positionner ou effacer les options de montage par défaut du
système de fichiers. Les options de montage par défaut peuvent
être remplacées via les options de montage spécifiées soit dans
/etc/fstab(5) soit en argument de ligne de commande à mount(8).
Les noyaux anciens peuvent ne pas supporter cette
fonctionnalité ; en particulier, les noyaux antérieurs à 2.4.20
ignorerons probablement le champ d’options de montage présent
dans le superbloc.
Plusieurs options de montage peuvent être positionnées ou
effacées en les séparant par des virgules. Les options préfixées
par un accent circonflexe (« ^ ») seront effacées du superbloc
tandis que celles sans préfixe ou avec le préfixe « + » seront
ajoutées.
Les options de montage suivantes peuvent être positionnées ou
effacées en utilisant tune2fs :
debug Activer le code de débogage pour ce système de
fichiers.
bsdgroups
Émuler le comportement BSD lors de la création de
fichiers : ils prennent l’ID de groupe du répertoire
dans lequel ils sont créés. Le comportement standard
Système V est celui par défaut, les fichiers créés
prennent l’ID de groupe du processus courant, à
moins que le bit setgid du répertoire ne soit
positionné, auquel cas il prendra l’ID de groupe du
répertoire parent et également le bit setgid si
c’est lui-même un répertoire.
user_xattr
Activer les attributs étendus de l’utilisateur.
acl Activer les listes de contrôle d’accès POSIX (ACL).
uid16 Désactiver les UID et GID 32 bits. Cela permet
l’interopérabilité avec les noyaux anciens qui ne
supportent que des valeurs 16 bits.
journal_data
Quand le système de fichiers est monté avec la
journalisation activée, toutes les données (pas
uniquement les méta-données) sont inscrites dans le
journal avant d’êtres écrites sur le système de
fichiers.
journal_data_ordered
Quand le système de fichiers est monté avec la
journalisation activée, toute donnée est écrite sur
le système de fichiers principal avant que ses
méta-données ne soient inscrites dans le journal.
journal_data_writeback
Quand le système de fichiers est monté avec la
journalisation activée, les données peuvent être
écrites sur le système de fichiers principal après
que ses méta-données soient inscrites dans le
journal. Cela peut augmenter le débit, cependant
cela peut aussi faire apparaître des données
anciennes dans les fichiers suite à un crash et à
une restauration à l’aide du journal.
-O [^]caractristique[,...]
Positionner ou effacer les caractéristiques indiquées du système
de fichiers. Plusieurs caractéristiques peuvent être
positionnées ou effacées en les séparant par des virgules. Les
caractéristiques préfixées par un accent circonflexe (« ^ »)
seront effacées du superbloc tandis que celles sans préfixe ou
avec le préfixe « + » seront ajoutées.
Les caractéristiques suivantes peuvent être positionnées ou
effacées en utilisant tune2fs :
large_file
Le système de fichiers peut contenir des fichiers de
plus de 2 Go. (Les noyaux récents activent cette
caractéristique automatiquement quand un fichier de
plus de 2 Go est créé).
dir_index
Utiliser des arbres binaires hachés pour accélérer
la recherche dans les répertoires de grande taille.
filetype
Enregistrer les informations sur les types de
fichiers dans les entrées de répertoires.
has_journal
Utiliser un journal pour assurer la cohérence du
système de fichiers même après un arrêt brutal.
Ajouter cette caractéristique est équivalent à
utiliser l’option -j.
sparse_super
Limiter le nombre de sauvegardes des superblocs pour
économiser de l’espace sur les grands systèmes de
fichiers.
resize_inode
Réserver de l’espace pour que la table des
descripteurs de groupes de blocs puisse grossir dans
le futur. Tune2fs ne prend en charge que
l’effacement de cette caractéristique du système de
fichiers.
uninit_bg
Permettre au noyau d’initialiser la table des blocs
et des inoeuds et de garder une trace des inoeuds
inutilisés d’un système de fichiers, pour réduire la
durée d’exécution de e2fsck(8). La première
exécution de e2fsck après avoir activer cette
fonctionnalité prendra le même temps, mais les
exécution suivantes de e2fsck ne prendront qu’une
fraction de ce temps, en fonction du taux de
remplissage du système de fichiers.
Après avoir modifié les caractéristiques sparse_super,
uninit_bg, filetype ou resize_inode, e2fsck(8) doit être lancé
sur le système de fichiers pour que ce dernier retourne à un
état cohérent. Tune2fs affichera un message demandant à
l’administrateur système d’exécuter e2fsck(8) lorsque cela est
nécessaire. Après l’ajout de la caractéristique dir_index,
e2fsck -D doit être exécuté pour convertir les répertoires
existants dans le format utilisant des arbres binaires hachés.
Lorsque certaines caractéristiques sont activées, il pourra être
impossible de monter le système de fichiers sur des noyaux ne
gérant pas ces caractéristiques. En particulier, les
caractéristiques uninit_bg et flex_bg ne sont prises en charge
que par les systèmes de fichiers ext4.
-r nombre_blocs_rservs
Définir le nombre de blocs réservés dans le système de fichiers.
-T date_dernire_vrification
Définir la date de dernière modification du système de fichiers
à l’aide de e2fsck. Cette date est interprétée en utilisant la
zone de temps actuelle (locale). Cela peut être utile dans des
scripts qui utilisent un gestionnaire de volume logique (LVM)
pour prendre une sauvegarde instantanée d’un système de fichiers
puis qui vérifient le système de fichiers lors de temps libres
pour s’assurer qu’il n’y pas eu de corruptions dues à des
problèmes matériels, etc. Si le système de fichiers est bon,
cette option peut être utilisée pour définir la date de
vérification sur le système de fichiers d’origine. Le format de
date_dernire_vrification est une date au format international,
avec éventuellement une heure, c’est-à-dire
YYYYMMDD[HH[MM[SS]]]. Le mot-clé now (maintenant) est également
accepté, auquel cas la date de dernière vérification sera
positionnée à la date actuelle.
-u utilisateur
Définir l’utilisateur qui peut utiliser les blocs réservés dans
le système de fichiers. utilisateur peut être un UID
(identifiant utilisateur) numérique ou un nom d’utilisateur. Si
un nom d’utilisateur est fourni, il sera converti en UID
numérique avant d’être stocké dans le superbloc.
-U UUID
Définir l’identifiant unique universel du système de fichiers
(UUID = Universal Unique ID) à UUID. Le format d’UUID est une
suite de chiffres hexadécimaux séparés par des tirets ; par
exemple « c1b9d5a2-f162-11cf-9ece-0020afc76f16 ». Le paramètre
UUID peut aussi être l’un des suivants :
clear Effacer l’UUID du système de fichiers.
random Générer aléatoirement un nouvel UUID.
time Générer un nouvel UUID à partir de la date courante.
L’UUID peut être utilisé par mount(8), fsck(8) et /etc/fstab(5)
(et probablement d’autres) en spécifiant UUID=uuid à la place du
nom de périphérique comme /dev/hda1.
Voir uuidgen(1) pour plus d’informations. Si le système n’a pas
de bon générateur aléatoire comme /dev/random ou /dev/urandom,
tune2fs utilisera automatiquement un UUID généré à partir de la
date à la place de l’UUID généré aléatoirement.
BOGUES
Nous n’avons pas encore trouvé de bogues. Ça ne veut pas dire qu’il n’y
en a pas...
AUTEUR
tune2fs a été écrit par Remy Card <Remy.Card@linux.org>. Il est
actuellement maintenu par Theodore Ts’o <tytso@alum.mit.edu>. tune2fs
utilise la bibliothèque ext2fs écrite par Theodore Ts’o
<tytso@mit.edu>. Cette page de manuel a été écrite par Christian Kuhtz
<chk@data-hh.Hanse.DE>. La vérification périodique a été ajoutée par
Uwe Ohse <uwe@tirka.gun.de>.
DISPONIBILITÉ
tune2fs fait partie du paquet e2fsprogs qui est disponible sur
http://e2fsprogs.sourceforge.net.
VOIR AUSSI
debugfs(8), dumpe2fs(8), e2fsck(8), mke2fs(8)
TRADUCTION
Cette page de manuel a été traduite par Sébastien Blanchet en 2002. La
version présente dans Debian est maintenue par les membres de la liste
<debian-l10n-french AT lists DOT debian DOT org>. Veuillez signaler
toute erreur de traduction par un rapport de bogue sur le paquet
manpages-fr-extra.